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Rencontre avec Sébastien Ménard lors d'une soirée sur les éditions Publie.net, par la Maison de la Poésie de Nantes, au Lieu Unique.

Il convoque alors notre VUE en se levant, allant jusqu'à la scène, se plaçant derrière son micro, devant une projection de photographies sur un écran. VUE

Il convoque alors notre OUÏE en prenant un premier livre : Notre désir de tendresse est infini. Sa voix atteint le micro, puis le public, enveloppe le reste de la salle. OUÏE

Mais on ne l'écoute pratiquement pas, on cherche un sens aux photographies qui défilent derrière lui, pour que, quelques instants plus tard, nos yeux reviennent à lui, comme absorbés par sa présence, prestance. Les mots ne courent pas dans nos oreilles mais sous nos yeux dans la salle. VUE / OUÏE

Deuxième livre : Soleil gasoil. Ce ne sont pas des textes écrits pour être lus par des lecteurs, mais par Sébastien Ménard et les oreilles de ceux qui le regardent. OUÏE / VUE

Une aura entoure les mots, entoure Sébastien Ménard, les yeux du publics suspendus à sa bouche et ses textes.

Sébastien Ménard,

coincé entre texte

et images

​Selon la manière à laquelle nous assistons au texte, les usages de nos sens s'inversent.

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